20 otre partenariat avec Trioplast a débuté dans les années 70, mais c’est sans doute avec le lance- ment par un certain nombre d’entreprises interna- tionales, dont Trioplast, du réseau Field Science Network à la fin du siècle dernier que le partenariat s’est orga- nisé de manière plus formelle », nous a expliqué Rolf Spörndly. Il est directeur de recherche à l’institut de l’alimentation et des soins animaux de l’université agricole suédoise SLU, et une sorte de gourou dans son domaine.   Développer des idées innovantes pour en faire des produits et solutions nouveaux a toujours figuré en haut de l’agenda de Trioplast.   « Cela consiste pour Trioplast à toujours chercher à s’amé- liorer dans ce que nous faisons. En collaborant avec SLU et son équipe de chercheurs, nous pouvons effectuer des tests afin de développer un produit existant de façon à le rendre encore meilleur, et tester nos idées de nouveaux produits et solutions innovants. Nous faisons tout pour répondre aux besoins et sou- haits actuels et à venir de nos clients » a déclaré Anders Lars- son, chef de produit Agri. Un film plus solide qui convient pour le fourrage sec et rêche des chevaux, un film plastique au lieu des filets autour des balles de foin pour en conser- ver la teneur nutritive et un livret qui montre com- ment la conservation des balles fonctionne. Ce sont des innovations qui n’auraient peut-être ja- mais vu le jour sans la coopération entre Trioplast et l’université agricole suédoise SLU. SLU effectue entre autres des tests sur le film étirable pour la mise en silo des balles de foin pour le compte de Trioplast. Ces tests anonymisés sont menés dans des conditions environne- mentales réelles sur les champs de quelques-unes des nom- breuses fermes à disposition de SLU.   Les tests des balles de foin et des différentes qualités de plastique se déroulent sur une période de 3 à 12  mois. Les chercheurs de SLU mesurent l’éventuelle perte de poids et les changements chimiques, contrôlent l’étanchéité du plastique et conduisent des inspections visuelles pour déterminer la pré- sence de moisissure visible sur le foin.   «  Trioplast peut ainsi présenter des résultats scientifique- ment et statistiquement sûrs tirés des analyses en labora- toire. Un résultat impartial présenté par nos chercheurs et qui montre à quel point le plastique protège le foin, garantissant que celui-ci conserve une valeur nutritive aussi élevée que pos- sible », nous a expliqué Rolf Spörndly.   « Le partenariat avec SLU est très important pour Trioplast. Il nous aide à améliorer l’offre que nous proposons à nos clients. Notre développement produit est plus précis, et consti- tue une bonne base sur laquelle faire progresser nos idées in- novantes », selon Anders Larsson. DE L’IDÉE À L’INNOVATION ROLF SPÖRNDLY DIRECTEUR DE RECHERCHE, UNIVERSITÉ SUÉDOISE DES SCIENCES AGRICOLES SLU N