12 « Le seul point négatif que je vois, c’est le fait que nous sommes géographiquement éloignés. »   Pourtant, malgré la distance et le déca- lage horaire, Helen estime que le support fourni par Trioplast fonctionne très bien.   «  Nous envoyons des SMS et des e-mails, et nous trouvons toujours un mo- ment pour nous parler au téléphone si né- cessaire. Nous convenons toujours d’une solution commune », précise-t-elle.   La Nouvelle-Zélande offre un éventail complet de milieux, ce qui est intéressant pour les essais sur le terrain.   «  La Nouvelle-Zélande est également très en avance sur le plan technologique et dispose d’une large gamme de ma- chines sur lesquelles effectuer des tests. En d’autres termes, il s’agit d’un excellent marché pour les essais de Trioplast », pré- cise Robert Gustafsson, spécialiste des produits à Trioplast. 1 800 tonnes de plastique recyclé chaque année Helen Slattery s’investit à 100 % dans tout ce qu’elle fait, qu’il s’agisse d’améliorer son secteur d’activité, d’offrir un environ- nement de travail plus sûr ou d’œuvrer activement en faveur du développement durable.   Parce que l’entrepreneuse s’efforce de toujours changer les choses, Slattery Contracting a participé au lancement du programme de recyclage Plasback il y a une dizaine d’années.   Grâce à Plasback, les exploitants peuvent recycler l’enrubannage plastique qui entoure les balles d’enrubannage au lieu de le brûler ou de l’enterrer comme c’était souvent le cas auparavant.   « Je veux que mes enfants grandissent dans une société durable où les matériaux sont recyclés et réutilisés – tout simple- ment dans une société à l’économie cir- culaire. Au cours des premières années de Plasback, nous avons recyclé environ neuf tonnes de plastique. À présent, nous récupérons environ 1 800 tonnes de ma- tériaux par an, et les volumes ne cessent d’augmenter. Les exploitants perçoivent sans aucun doute l’intérêt du programme de recyclage Plasback, et il est gratifiant de constater qu’ils sont de plus en plus nombreux à participer au programme  », conclut Helen. GRÂCE À PLASBACK, LES EXPLOITANTS PEUVENT RECYCLER L’EMBALLAGE PLASTIQUE QUI ENTOURE LES BALLES D’ENRUBANNAGE AU LIEU DE LE BRÛLER OU DE L’ENTERRER COMME C’ÉTAIT SOUVENT LE CAS AUPARAVANT. Suite de la page précédente 12