25 LES JOURS SE SUIVENT MAIS NE SE RESSEMBLENT PAS Mickaël Vandaele est responsable de la production à Trioplanex, en Picardie, dans le nord de la France. On dit que la Picardie est l’une des régions de France qui a le plus de charme. On dit également que c’est le secret le mieux gardé de France, car elle est peu prisée des touristes. Mickaël, qui est né en Picardie, connaît sa région par cœur et y vit toujours avec sa femme et leurs cinq enfants. MICKAËL VANDAELE, RESPONSABLE DE LA PRODUCTION, TRIOPLANEX, PICARDIE ai commencé comme apprenti à Trioplanex en 1998. J’ai ensuite été embauché comme technicien de ser- vice », raconte Mickaël qui a ensuite travaillé à la pla- nification, aux processus, à la formation, à la mainte- nance, à la sécurité et à la production.   Beaucoup de choses ont changé dans l’usine depuis qu’il y est entré comme apprenti il y a 20 ans. « On peut dire que j’ai été acteur et témoin de l’évolution de l’industrie, des nouveaux produits aux nouvelles chaînes de production en passant par une prise de conscience accrue dans le domaine de la sécurité et de l’environnement. » Optimiser les bénéfices des clients Il explique que les journées sont toutes différentes, et c’est peut-être la raison pour laquelle il aime autant son travail.   « Si je voulais décrire une journée type, je dirais que ça commence par une réunion de production suivie peu après d’une réunion de maintenance. Ensuite, la journée com- mence à prendre forme, et il n’y a pas vraiment de règle. »   Mickaël apprécie ses missions variées et la camaraderie entre collègues – tout ce qui crée une bonne ambiance de travail. « La culture de l’entreprise et la confiance qu’elle nous ac- corde, ainsi que la possibilité de travailler au plus près du marché sont les aspects que je préfère », affirme Mickaël.   Il explique que le principe de la production à flux tendu est présent partout à Trioplanex.   «  L’optimisation des bénéfices du client constitue pour nous un moteur, et la réduction des éléments de la produc- tion qui ne créent pas de valeur est indispensable. J’ai aussi de nombreux collègues dans le monde entier, et nous appre- nons beaucoup les uns des autres », conclut Mickaël. 25